Fut un jour de pluie,
Elle rentra chez elle,
Ca mère pleurait,
Sa sœur s'était écroulée,
La seconde pleurait sans même comprendre ce qu'elle venait de perdre.
Ce fut Elle*.
Quelque jours plus tard,
Elle craignait que le lien de l'amour ai emporté celui de l'amitié dans sa
chute,
Elle appela chez [lui]
Mais ce fut [sa] mère qui répondit,
Qui s'écroulât en sanglot après avoir identifié sont interlocuteur.
Ce fut Elle'.
Le lendemain,
De retour d'un séjour,
Sont frère l'attendait derrière la porte,
Sérieux et grave,
Il l'appela par sont prénom.
Ce fut Elle/.
Quelque heures plus tard,
Lassé de rester sans réponse,
Il appela chez [lui],
Mais [il] ne décrocha pas.
Il fut rappelé par [sa] triste mère.
Ce fut Lui*.
Trois jours plutôt,
Embarrassé de rentrer chez soit,
Il le fut encore plus lorsqu'il vit sa propre mère,
Grave et embarrassé,
Qui le tira jusque dans un fauteuil du séjour.
Ce fut Lui'.
Trois minutes auparavant,
Passant non loin de chez [lui],
Il se décida a passer [le] voir,
Arriva sur le seuil,
Et la porte s'ouvrit a lui.
Ce fut Lui/.
Elle* s'écroula en larme,
Et avant que qui que ce soit ai pu y faire quelque chose,
Elle se jeta par sa fenêtre,
En priant tout être divins pour [le] rejoindre.
Elle' ne laissa rien paraître,
Mais choquée elle s'assit sur sa chaise,
Et [lui] dédia ses prochaines soirées,
En se répètent sans cesse qu'elle n'y était pour rien.
Elle/ ne le crut point dans les premiers instant,
Mais elle fut bien forcé a l'évidence,
Finissant par laisser couler furtivement,
Quelques larmes sur le dos de son frère.
Lui* se senti perdu dans ce monde,
Il s'enfonça dans sa sottise,
Se servant de cet évènement comme excuse,
Il en mourut.
Lui' se releva,
Pour s'écrouler un peu plus
loin,
Sa bouteille a la main,
Regrettant sa présence si passive.
Lui/ fut troublé,
Lui qui croyait s'entraider avec [lui],
Se senti bien mal de devoirs rapporter cela a Elle/,
L'impression d'avoir perdu un
support nécessaire a sont équilibre.