Million de cadavre
Entassés sur des pieux,
En direction des havres
Pour de nouveaux dieux.
Rouge ou translucide,
Toujours les mêmes liquide,
Semence mondial
Toujours aussi partiale.
De par la soumission,
Via la trahison,
Toujours pour les même raisons,
Cette répression.
Emission d'informations,
Toujours les mêmes théorème,
Transcriptions des erreur,
Passé a la Sacem.
Couleurs revisitées,
D'un monde parasité.
>>>---B-E-W-B---==>
BEWBtxt
>>>---B-E-W-B---==>, Mon Monde... Et la Fin des Temps...
Dimanche 21 octobre 2007 à 13:28
Lundi 18 juin 2007 à 12:37
C'est l'heure les mecs.
...
...
...
...
...
...
J'ai pas pu m'empêcher de gerber...
Moi non plus...
Tout ce sang...
Toutes ces larmes...
Tout ces frères qui hurlent...
Mon Dieu...
Tout ce sang...
Toutes ces larmes...
Tout ces frères qui hurlent...
Mon Dieu...
Je ne crois pas en dieu...
Moi non plus...
Pourtant j'espère qu'il existe...
Pourtant j'espère qu'il existe...
Moi aussi...
Moi aussi...
...
...
...
...
...
...
Dites-moi les gars...
On va mourir ?
...
...
...
On va mourir ?
...
...
...
Sûrement...
Peut-être...
Je sais pas...
...
...
...
Je sais pas...
...
...
...
Si on s'en sort les gars...
...
...
...
...
...
...
On aura de la chance...
Ouais...
>>>---B-E-W-B---==>
Lundi 26 février 2007 à 13:08
Le Concert.
La salle est sombre,
Les ombres se mouvent,
Se glissent en patience,
Sous la pression.
Puis des sons de fond se glissent dans la masse,
Les hurlement s'interposent puis se calment,
Les êtres se dressent,
La chaleur monte.
Le public se fait entendre,
Telle une armée prête a se battre,
Appellant fièrement ses généraux,
Faisant trembler la terre.
Alors vint trois notes,
Suivit de la lumière,
Les héros sont là,
Lançant leurs stratégies.
La masse forme un tas informe,
Rebondissant dans un rythme éfréné,
Suivant les ordres de leurs supèrieurs vénérés,
Jusqu'a la trance.
Alors les batailles rangées commencent,
Les être volent de tout sens,
D'autres se percutent violemment voir a sang,
Les pits se forment.
Puis quelques hommes armés rentrent,
Se frayent un chemin dans la horde,
Tentant de traverser les quatres zones,
Pour être au premier rang.
La première,
Zone des calmes parfois headbangueur,
Il faut demander le passage,
Et passer.
La seconde,
Zone des headbangueur,
Il faut crier sa demande,
Et passer.
La troisième,
Zone des actifs et des slammeurs,
Il faut bousculer,
Et garder les yeux ouverts.
La quatrième,
Zone des pogoteurs,
On fonce au travers,
En espérant le traverser.
Ca y est,
Ils y sont,
Devant la scène,
Dos au pit.
Alors l'arme se dresse,
Et vise le soliste fou,
Qui tombe net,
Raide mort dans son publique.
>>>---B-E-W-B---==>
La salle est sombre,
Les ombres se mouvent,
Se glissent en patience,
Sous la pression.
Puis des sons de fond se glissent dans la masse,
Les hurlement s'interposent puis se calment,
Les êtres se dressent,
La chaleur monte.
Le public se fait entendre,
Telle une armée prête a se battre,
Appellant fièrement ses généraux,
Faisant trembler la terre.
Alors vint trois notes,
Suivit de la lumière,
Les héros sont là,
Lançant leurs stratégies.
La masse forme un tas informe,
Rebondissant dans un rythme éfréné,
Suivant les ordres de leurs supèrieurs vénérés,
Jusqu'a la trance.
Alors les batailles rangées commencent,
Les être volent de tout sens,
D'autres se percutent violemment voir a sang,
Les pits se forment.
Puis quelques hommes armés rentrent,
Se frayent un chemin dans la horde,
Tentant de traverser les quatres zones,
Pour être au premier rang.
La première,
Zone des calmes parfois headbangueur,
Il faut demander le passage,
Et passer.
La seconde,
Zone des headbangueur,
Il faut crier sa demande,
Et passer.
La troisième,
Zone des actifs et des slammeurs,
Il faut bousculer,
Et garder les yeux ouverts.
La quatrième,
Zone des pogoteurs,
On fonce au travers,
En espérant le traverser.
Ca y est,
Ils y sont,
Devant la scène,
Dos au pit.
Alors l'arme se dresse,
Et vise le soliste fou,
Qui tombe net,
Raide mort dans son publique.
>>>---B-E-W-B---==>
Mercredi 20 décembre 2006 à 22:46
Debout,
Seul.
Seul.
Je me vois,
Ici.
Ici.
Ou peut-être,
Là.
Là.
Un cadavre,
Parmi tant d'autres.
Parmi tant d'autres.
Je vois,
Mes congénères.
Mes congénères.
Au sol,
Mort.
Mort.
Non pas encore,
Du moins pas moi.
Du moins pas moi.
Je rêve,
Je cauchemarde.
Je cauchemarde.
La réalitée,
Me parait si irréaliste.
Me parait si irréaliste.
Mais pourtant,
Autant se rendre a l'évidence.
Autant se rendre a l'évidence.
Je peu lacher mon arme,
Ou non.
Ou non.
Il pourrait rester quelqu'un,
Je peu lacher mon arme.
Je peu lacher mon arme.
Qu'est-ce que cela,
Non rien.
Non rien.
Ca ne m'interesse guère,
j'ai pas été atteint.
Serait-ce la fin,
Je sais pas.
Je sais pas.
Je suis perdu,
Surement.
>>>---B-E-W-B---==>Surement.
Mardi 5 décembre 2006 à 8:31
L'executé...
L'executeur...
Ca fait un certain temps que je redoute ce jour...
J'pensais pas recommencer ce matin...
Je sais pas si j'ai réellement mérité cela...
Je sais pas si j'ai vraiment le droit de faire ca...
Je ne sais pas comment je pourrais éviter ca...
Et c'est moi qui doit aller le chercher...
La porte de ma cellule s'ouvre, voici le premier de mes bourreaux...
Je me désole rien qu'a voir son visage, la traduction de sa douleur...
Il n'a pas ouvert la bouche et ca m'arrange quelque peu...
Je n'sais pas quoi lui dire...
Il fait froid dans les couloirs de la mort...
Toujours le même courant d'air de ce couloir...
Le sol est glacial...
Enfin la lumière du jour...
Voici mon dernier soleil...
J'vais prendre l'air d'assurer devant les autres...
Y'en a pas un pour rattrapper l'autre...
J'vais quand même éviter de le faire souffrir...
Je vais mourrir...
Le voila attaché, je vais rejoindre mes camarades...
Ca y est, le premier bourreaux va rejoindre les 6 autres...
Sept fusils et une seule balle, avec un peu de chance c'est pas moi...
Et je sais pas lequel des sept va me descendre...
Je sue...
J'ai mal au crane...
On se met en jou...
Le moment est arrivé...
Et si c'était mon frère...
Sont-ils réellement des hommes...
J'ouvre le feu...
Peu importe...
Il saigne...
Serait-ce la mort que voila...
Il est mort...
>>>---B-E-W-B---==>