Jeudi 19 octobre 2006 à 20:22
Une nouvelle génération,
Qui se taille les veines,
Toujours dans la haine,
Toujours au fin-fond...
Au bord de la brèche,
Toujours viser le fond,
Ainsi nous voyons,
Nouvelle génération,
Répression,
Dépression,
Le sang coule pour les dépressifs !
Notre jeunesse,
Avortée,
Trépasse,
Aujourd'hui,
Se tailler,
Se bruler,
Pour sentir,
Se ressentir !
Répression,
Dépression,
Le sang coule pour les dépressifs !
Le taux de cadavre,
Parré pour,
Ne saisse d'augmenter,
Au file des années,
Les croyants,
Se diversifient,
Mais surtout s'oubli,
dans la folie !
Répression,
Dépression,
Le sang coule pour les dépressifs !
Dépressifs !
>>>---B-E-W-B---==>
Mardi 4 juillet 2006 à 1:16
Fut un jour de pluie,
Elle rentra chez elle,
Ca mère pleurait,
Sa sœur s'était écroulée,
La seconde pleurait sans même comprendre ce qu'elle venait de perdre.
Ce fut Elle*.
Quelque jours plus tard,
Elle craignait que le lien de l'amour ai emporté celui de l'amitié dans sa
chute,
Elle appela chez [lui]
Mais ce fut [sa] mère qui répondit,
Qui s'écroulât en sanglot après avoir identifié sont interlocuteur.
Ce fut Elle'.
Le lendemain,
De retour d'un séjour,
Sont frère l'attendait derrière la porte,
Sérieux et grave,
Il l'appela par sont prénom.
Ce fut Elle/.
Quelque heures plus tard,
Lassé de rester sans réponse,
Il appela chez [lui],
Mais [il] ne décrocha pas.
Il fut rappelé par [sa] triste mère.
Ce fut Lui*.
Trois jours plutôt,
Embarrassé de rentrer chez soit,
Il le fut encore plus lorsqu'il vit sa propre mère,
Grave et embarrassé,
Qui le tira jusque dans un fauteuil du séjour.
Ce fut Lui'.
Trois minutes auparavant,
Passant non loin de chez [lui],
Il se décida a passer [le] voir,
Arriva sur le seuil,
Et la porte s'ouvrit a lui.
Ce fut Lui/.
Elle* s'écroula en larme,
Et avant que qui que ce soit ai pu y faire quelque chose,
Elle se jeta par sa fenêtre,
En priant tout être divins pour [le] rejoindre.
Elle' ne laissa rien paraître,
Mais choquée elle s'assit sur sa chaise,
Et [lui] dédia ses prochaines soirées,
En se répètent sans cesse qu'elle n'y était pour rien.
Elle/ ne le crut point dans les premiers instant,
Mais elle fut bien forcé a l'évidence,
Finissant par laisser couler furtivement,
Quelques larmes sur le dos de son frère.
Lui* se senti perdu dans ce monde,
Il s'enfonça dans sa sottise,
Se servant de cet évènement comme excuse,
Il en mourut.
Lui' se releva,
Pour s'écrouler un peu plus
loin,
Sa bouteille a la main,
Regrettant sa présence si passive.
Lui/ fut troublé,
Lui qui croyait s'entraider avec [lui],
Se senti bien mal de devoirs rapporter cela a Elle/,
L'impression d'avoir perdu un
support nécessaire a sont équilibre.
Samedi 1er juillet 2006 à 1:00
Ca sera ma chute,
Wargame, moi-même je faillirais,
Il arrivera la fin de la lutte,
Je me ferais percer fatalement,
Mon arme se retournera aussi contre moi,
Au sol, je girait béant,
Je n'aurais plus aucunes foies,
Des gens se jèterons sur mon corps l'arme à la main,
D'autres se contenterons de me cracher dessus,
Et les rares blâmés tenterons de me traîner hors du champ,
Et me maudirons moi et ma présence d'autrefois,
Le soleil brillera,
Car je le hais,
La pluie s'effacera,
Car je l'aime,
La nouvelle se passera,
Entre deux sourire,
Puis elle trépassera,
Personne pour en souffrir,
Puis on m'oubliera,
En une semaine,
Peut-être en un mois,
On étouffera ma haine,
Puis un matin une personne se réveillera,
Plongée dans son désespoir,
Elle aura besoin de moi,
Qui aura déjà perdu tout espoir...
>>>---B-E-W-B---==>
Jeudi 18 mai 2006 à 22:35
Chaque petites pointes me tracent le dos à sang,
Les lignes transversales de briques brûlantes,
Me calcine la chair en lui refournissant du soleil.
Je ne peu plus me débattre.
Mais a quoi bon se débattre ?
Lié,
Ligoté.
On me traîne vers ma fin,
La fin de ma chaire,
Que ce sol m'arrache dors et déjà.
Ma propre fin.
>>>---B-E-W-B---==>
Mercredi 3 mai 2006 à 23:03
No Man's Land
Mon aile est cassée…
Je chute dans un no man's land…
Mon crâne est fissuré…
Sur le sol sec s'écoule mon sang…
Ils se sont bien foutus de moi…
Je croyais vivre dans le monde
de tous…
Mais en ça je n'ai plu fois
Je vis dans les inventions de
tous…
Tant de gens qui manipulent ma façade…
La façade que je me veux bien de
leur laisser paraître…
Fade…
Ce ne sont tous que des traîtres…
Mon aile est cassée…
Je chute dans un no man's land…
Mon crâne est brisé…
Mon corps gît dans les champs…
Quand je crois délivrer mes
secrets en personne sûr…
Je m'aperçois que je les écris
en gros sur des affiches parlantes…
Je marche au fur et à mesure…
Choquante…
Que faire d'un tel monde…
Tout ce qui se trame dans mon
dos…
Je me sens comme une sonde…
Secrètement décelé et dont on joue
de la peau…
Mon aile est cassée…
Je chute dans un no man's land…
Mon crâne est éclaté…
Mon cerveau mélangé a la terre
perd son blanc…
>>>---B-E-W-B---==>